Serveur TeamSpeak

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TeamSpeak sert généralement à beugler dans le micro quand vous jouez en ligne à des jeux bourrins (vulgairement appelés FPS). Dans ce contexte, il est utile d’avoir son propre serveur privé (ie, avec mot de passe) pour se rejoindre le soir entre amis. Si votre serveur de jeu, quel qu’il soit, est sous Linux, en général, votre TS (TeamSpeak) le sera aussi – idéalement sur une autre machine pour la charge réseau, ou plutôt que la charge, le ping du serveur de jeu.
Bref, c’est pas opensource, ils ont une politique de changement de version assez merdique, mais c’est bien comme logiciel.

Pour l’installer sous Linux, téléchargez-le serveur pour Linux quelque part. Dézippez le bazar, ça crée un répertoire tss2_rc2.

Lancez le script teamspeak2-server_startscript (ne pas le faire en root pour des raisons de sécurité !). Ce script fonctionne à la manière d’un script dans /etc/init.d/, à savoir qu’il faut l’accompagner de start ou stop.

La première fois, vous trouverez 2 précieux mots de passe dans le fichier de log server.log, gardez-les. L’un est pour le compte admin, l’autre pour le superadmin. C’est utile pour le serveur web lancé par défaut sur votre port HTTP 14534. Allez sur http://votre_serveur:14534/ probablement http://localhost:14534/
Ca vous permet de gérer par le web (vous n’avez pas le choix) vos instances de serveurs TS. C’est assez propre.

Votre serveur TS est joignable sur le port par défaut (UDP 8767). Pensez donc à ouvrir au moins ce port à l’extérieur dans votre firewall.

Bon après c’est relativement simple et intuitif : vous changez les mots de passes, vous créez au moins une instance de serveur, choisissez le codec qui va bien, rendez certaines « room » permanentes ou non, mot de passe etc…

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